samedi

Jigoku Shoujo

Jigoku Shoujo




On raconte qu'il y a un mystérieux forum, le Jigoku Tsushin, disponible uniquement à partir de minuit. Il suffirait d'inscrire le nom de la personne dont on désire se venger pour que la Jigoku Shojo l'envoie sans plus tarder en enfer... Mais tout a une prix ! Car en échange, il faut aussi donner son âme...



Ce n'est pas que les épisodes sont répétitif, étant donnés qu'ils sont tous basés sur des histoires totalement indépendantes ( pour un temps ). Par contre certains éléments des épiodes reviennent coup sur coup, et à l'intar de certaines situations dans Battle Programmer shirase, ça devient vite lassant. Autant dans un sailor moon, on retrouve une transformation l'épisode, plus le petit discour, autant ici, on retrouve, dès que jigoku shoujo intervient, le même scénario point par point. Elle apparait à la personne ayant demandé son service, dit son explication comme un robot. Au moment où la personne va conclure le pacte, elle la prévient qu'elle va y laisser son âme. Regard horifié, vision de ce qu'est l'enfer. Finalement on tirera sur a ficelle plus tard. Puis vient le moment fatidique, pour sauver sa peau, la personne signe finalement le contract. Hell girl est en train de se baigner, sa grand mere lui dit qu'elle a préparé ses vêtment, elle les mets et ajuste ses cheveux. Le carosse avec les roues enflamées part. Le vilain se réveille sur le bateau l'enmenant en enfer, après en avoi eu un aperçu. Et c'est toujours pareil... parfois dans le désordre...


Là où Jigoku Shoujo devient intéressant, c'est dans l'histoire de Enma Ai, et l'enquête menée à on sujet. Mais là encore, on devine l'intrigue plus qu'autre chose, et les indices donnés sont de l'ordre du subliminal. On rentre très lentement dans le bain, et on s'impatiente face aux quetions qui restent à moitié posées. Les 8 premiers épisodes n'apportent quasiment rien à l'histoire et les 10 suivants ne sont qu'une longue introduction au quelques derniers.
Les quelques derniers parlons en. Ici on voit enfin un évolution dans les quelques personnages récurents de l'histoire. Les questions se complètent, les relations et points de vue de chacun évoluent, pour arriver rapidement à un dénouement logique.



Pour contrbalancer cela, les graphismes et musiques sont superbes et parfaitement adaptées au genre.

Le coté répétitif, même s'il contribue à montrer de léger changements dans le comportement de hell girl, est un désavantage pour la série en tant que telle. Elle aurait gagné à n'être faite que de 12 ou 13 épisodes avec cette structure...
Jigoku shoujo, en tant que kowai ( manga à faire peur ) est bien, pas trop gore, un peu parfois, les histoires sont variées, plus ou moins sérieuses ou enfantines. Je lui préfèrerais cependant des séries plus courtes comme Pet hop of horror.

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